Laisse moi te dire que je ne suis en rien responsable de ce qui se passe en ce moment que je ne comprend pas la raison de tes sautes d'humeurs, car il me semble que je me montre plutôt sage, peut être cherches tu à me dire quelque chose si tel est le cas, j'aimerai mieux être mise au courant, et j'aviserai comme on dit.

Tu t'adresses à moi comme si j'étais une de ces femmes avec lequelle tu es... Je ne suis aucune d'entres elles, et tu n'as pas à me parler sur ce ton, moi tu ne m'accordes même pas l'ombre d'un reproche ou d'un ton élever, alors j'en demande autant après tout j'ai aussi droit à du respect et non cet espèce de mépris que dès que l'occasion s'en présente et sans raison tu me le craches à la figure, comme du venin venant du serpent.

Sans raisons uniquement à cause d'une simple question tu me traites comme de la pire espèce, je m'attends à ce que tu m'en parle et je sais ce que tu diras, et là moi aussi j'aurai à dire.

Tu as prétendu avoir eu mal, mais connais tu réellement le sens du mot "mal" non tu ne le connais pas, avoir mal ce n'est pas ce réfugier aussitôt dans les bras d'une autre personne, c'est comme aimer, quand on aime vraiment quelqu'un même si entre ces personnes sa n'a pas toujours était simple, on ne le remplace pas aussi vite, on essaie de voir si y a moyen de faire quelques choses, toi ce que tu as c'est que plus tu m'as vu m'enfoncer et plus tu trouver le refuge dans les bras d'une autre, tu refuser d'admettre ta responsabilité, tu as fuis, comme beaucoup le font parce qu'ils n'assument pas.

Je me suis enfoncer à cause de toi, et tu m'as casser et pourtant je suis rester parce qu'à la différence de toi j'ai essaier de me battre, j'ai essaier de remonter, mais plus tu te détourner et plus sa devenait difficile pour moi de revenir avec toi.

Je voudrais revenir en arrière c'est curieux mais à mon souvenir il me semble t'avoir entendu me dire à cette époque que cette femme était parfaite, si parfaite qu'aucun défauts n'exister chez elle, moi excuse moi la perfection je n'y crois pas, car nous sommes tous fait de qualités et de défauts que la perfection même le monde entier ne l'est pas, alors pourquoi elle l'aurai été? Sa aurai tendance à inssinuer qu'elle aurai été le seul être vivant sur cette terre à l'être, n'est ce pas trop prétentieux que de me dire une chose pareille?

Et si vraiment elle l'était selon tes dires, pourquoi avoir pris à un autre ce qui n'étais pas à toi, car tu n'as guère perdu de temps à t'en choisir une autre, puis encore une autre, pour rassembler autour de toi un harem, elle était parfaite oui mais selon toi et c'est pour sa que d'une certaine façon tu l'as aussi trahis, mais elle était aussi consentante, chose que je n'étais pas selon toi et pourtant j'ai accepter bien des choses en étant avec toi.

Tu me sembles oublier aussi qu'au début de ta rencontre avec elle tu l'avais trouver inssignifiante, mais peut être m'as tu menti ce jour là?

En fait je me suis fais berner du début jusqu'à ce jour.

On dit que chaque mal que l’on fait on fini par le payer un jour, j’aimerai y croire que tous ces mensonges et toutes ces douleurs que tu infliges un jour finissent par se retourner contre toi, après tout sa ne serai qu’un juste retour des choses…

Je ne suis pas amère contrairement à ce que tu crois, juste que j’en assez… pourtant je n’ai de cesse de t’aimer, ce que j’ignore c’est combien de temps encore ces sentiments pour toi tiendront leur place dans mon cœur.

Peut être que c’est la chose que tu attends et dans ce cas pourquoi attendre de me le dire ? veux tu faire durer le plaisir ? et t’amuser encore avant d’assener le coup de grâce ?

Et puis tu devrai être honnête avec ces femmes que tu bernes par des paroles non sincères, je sais pour l’avoir découvert qu’elles semblent heureuse mais en fait tu ne leur donne que de l’illusion, tu donnes que ce que tu veux bien donner et peut importe si elles t’aiment ou autre tu te joues de cela pour leur faire faire des choses, sa te fais plaisir de voir qu’elles se démènent pour te faire plaisir pour passer devant l’une devant l’autre, car tu l’es met en concurrence.

Pour revenir à moi, je n’ai pas supporter ce que j’ai appris récement tu avais peut être le droit de ne pas m’en parler, mais sincèrement je crois que tu aurai dû le faire, parce que l’apprendre d’une autre personne que toi c’est de la trahison. Tu t’es servis de la distance pour agrandir encore plus cet éloignement, je comprend mieux les paroles que tu as eu et que tu as encore quand tu me parles, et même tes silences parlent pour toi…

Tes attitudes sont celles d’un lâche et tes mots des poignards, tu n’es pas dignes d’un amour véritable, tu n’es pas digne de recevoir d’une femme quoi que se soit. Par ta faute beaucoup souffriront par ta faute beaucoup trop d’entres elles ont déjà eu mal.

Tu me dis que la jalousie ne sert pas et qu’elle détruit l’amour, alors pourquoi demandes tu comme pour un défi que l’on te rende jaloux en faisant telle ou telle chose ? c’est curieux que tu puisses suggérer une telle chose alors que tu dis que ce sentiment n’est pas compatible avec l’amour ? j’avoue ne pas comprendre à quoi tu veux en venir !

Il y a aussi que tu te sers du passé de ton entourage pour faire avouer nos plus grandes craintes, et tu les retournes pour les traduire à l’inverse de ce que nous pensons, c’est que tu as fais pour moi, tu t’es servis de mon passé pour me faire faire ce que tu voulais, tu t’en ai servis en prétendant que ce qui était un refus pour moi soit en fait une chose encrée et refoulée de ma part, que c’était aussi ce que j’étais au fond de moi, et comme je manquais d’expèriences  et que j’étais sous ton charme je t’ai crue, oui je me suis laisser entraîner vers toi vers ces choses qui me paraîssaient impossible et surtout répugnante, car l’amour pour toi c’est un don de soi sans restriction fallait te donner pour peut être espèrer de recevoir de toi un certain retour, encore fallait t’il que cela soit sincère et te concernant je doute que sa a pu l’être…

C’est vrai que quand on aime on est prêt a tout…Mais tout ne veux pas dire n’importe quoi, et je sais que pour certaine tu as fais faire des choses que moi-même je refusais de faire et que je le dis aujourd’hui je ne ferai pas à ce jour, car même par amour on ne se rabaisse pas à ce point, et même s’il fallait te prouver que je tiens à toi, je préfèrerai me passer d’amour qu’à m’humilier davantage encore, c’est pas de l’amour que de demander des choses dégradantes à une femme non c’est de la connerie, et tu ne me verras pas le faire même si j’éprouve pour toi l’amour avec un grand A…

Récement j'ai pu me rendre compte de ta perfidie, alors que tu prétendais il y a peine quelques semaines me donner une chance pour que sa puisse marcher.

J'ai dû te paraître bien naïve à ce moment là que d'avaler les mots que tu me disais...Mais voilà que j'apprend que dans mon dos tu te sois une nouvelle fois jouer de moi et de mes sentiments, ceci n'a rien à voir avec de la jalousie, seulement j'aurai aimer apprendre cette chose de toi et non d'une autre personne, tu m'as une nouvelle fois trahie et humilliée, de plus ce que tu as fais remonte à un certain moment et qu'au moment où c'est arriver nous tentions d'établir des bases, en fait à présent j'avoue que ces bases étaient bien fragiles, qu'à peine j'ai eue le dos tourner que tu m'es poignarder.

Pourquoi me faire sa? Sincèrement que t'ai je fais sinon avoir fait beaucoup d'efforts et tout sa pour sa et pour rien... Tu m'as mis en porte à faux, et tu aurai pu au moins m'en parler, qui sait que peut être j'aurai trouver sa drôle, mais aujourd'hui je n'ai pas envie d'en rire mais plutôt d'en pleurer, parce que je comprend mieux l'une de tes dernières phrases celle ci étant: "tu n'as qu'à rester chez toi, si tu veux revenir c'est parce que tu as peur d'être seule".

Oui j'avoue avoir peur d'être seule parce que je tiens vraiment à toi malgré le mal que tu me fais, mais là j'avoue que c'est beaucoup trop et que je trouve injuste que tu te permettes de me mettre des bâtons dans les roues, et ce n'est pas trop ce à quoi je m'attendais, bien que venant de toi, et te connaissant bien je te pensais capable de cela, mais je l'ai chasser de mon esprit, parce que je me disais que tu n'oserai pas, pourtant quelques années auparavant tu avais tenter l'expérience, et sa avait presque marcher, mais là aussi tu ne m'en a jamais parler.

De nouveau je sombre et j'ai si mal que je voudrais en finir, je fais n'importe quoi et sa ne m'aide pas, juste que je m'enfonce de plus en plus et mes espoirs qu'un jour je puisse te retrouver se sont déterriorer, et toi tu continues à faire mine de rien, et te comporter envers moi comme si je n'en vallais rien.

Je voudrais savoir seulement quel plaisir tu prends à me faire subir tout sa? Car si ce sont des épreuves pour tester ma résistance, alors je peux déjà dire qu'à ce rythme je ne tiendrai guère longtemps, et si c'est aussi pour me nuire dans ce cas qu'elles en sont les raisons?

Quelques puisses être les raisons sont elles justifiées? Moi je n'y comprend absolument rien, mais j'aimerai savoir, tu es le seul à pouvoir y répondre mais je doute que tu puisses m'en donner explications sincère, parce que tu es lâche et méprisable, que tu es de la pire espèce qui soit, bien que je te croyais en partie à cause de toi qui prétendais que tu étais diffèrent des autres, mais en fait tu es pire que les autres, et sa me fait mal trop mal pour garder sa au fond de moi...

Dit moi, pourquoi rester, si je n'ai pas de raisons d'être là?

Dit moi, que mes efforts, mes sacrifices, n'en n'ont jamais valuent la peine, et que j'ai eue tord d'y croire au moins une fois et que sa pouvait changer les choses.

Dit moi, que je suis sotte, que je ne suis qu'une gamine qui ne réfléchit pas.

Dit moi, que je cesse de vivre, parce que la vie m'est devenue impossible, que de survivre après tout sa, ne rendrait les choses que plus pénibles encore.

Dit moi, que tu ne m'as jamais aimer.

Dit moi, que tu regrettes tout sa.

Dit moi, que j'ai eue tord, que que j'étais une bonne à rien, et au moins je pourrai cesser de croire.

Dit moi, que mes rêves n'étaient que des utopies, et que je n'ai jamais pu être capable de te donner un jour de bonheur.

Dit moi, que tu n'as jamais voulu de moi, et je m'en irai.

Dit moi, que de mourir, et sans regrets je le ferai.

Dit moi, que tu seras heureux sans moi, et que de toute façon tu m'as toujours préférée loin.

Dit moi, que tu regrettes ces faux semblants, ces paroles que tu as dites, parce qu'elles n'étaient que des mensonges.

Dit moi, que je me suis accrocher pour rien, et je lâcherai prise.

Dit moi, de partir et de ne plus jamais réapparaître.

Dit moi, tout sa et la paix tu auras.

Et si après tout sa je pleure, laisse moi je t'en prie, laisse moi pleurer, pour que je puisse faire mon deuil, de toutes ces années perdues, pour rien à attendre et à essayer de te plaire...

Comment contenir mes sentiments? Je ne suis pas sûre de savoir le faire! Sans doute est ce nécessaire, mais c'est par tes mots que j'y suis contrainte, je voudrais que tu comprennes dans quel désespoir cela me place et que de museler mes sentiments, je n'arrive plus à savoir où j'en suis, ni si je pourrai tenir encore très longtemps car je me sens m'enfoncer peu à peu dans une lente agonie, une profonde dépression, dont tu es le responsable.

J'ai mal dans mon coeur et mon âme se brise.

J'aimerai tant t'aimer, te le dire, te le crier, mais ton coeur ne veut pas du mien...

Je n'arrive plus très bien à savoir où me situer, et si ma vie est encore capable de tenir debout, si je suis encore capable de faire partie de ta vie! si vraiment je peux croire encore en nous, malgré tout ce qui a put arriver entres nous.

J'ai envie de mourir tellement j'ai mal dans ma chaire. Parce que sans toi la vie, ma vie ne semble pas avoir  d'importance.

J'essaie de résister, j'essaie de faire que sa aille, mais j'ai beau tout faire rien ne marche.

Je me mens à moi même, sa marchera jamais j'ai plus de place dans ta vie, ma vie pour laquelle ta place reste vide...

Je voudrais prendre part à quelque chose mais dans quoi?

Je me sens vide, tout n'est que futiliter, je suis pathétique.

Je voudrais pouvoir te dire tout sa, mais je sais par avance que tu n'es pas prêt à me prêter une oreille attentive, je ne suis plus digne d'intérêt à tes yeux, d'autres ont déjà prit LA place que soit disant j'avais...

Je me sens stupide, je suis fatiguer de faire ses efforts pour lequels je ne reçois, ni compliments, ni encouragements de ta part, c'est peut être aussi et certainement à cause de ces raisons, que je me sens si fatiguer, si lasse mais sa tu feins de ne pas le voir.

J'en ai marre de pleurer, marre de ces douleurs invisibles que tu m'infliges...

Faut-il que je sois ronde, une grosse poitrine, avoir de l'argent pour être à tes yeux digne d'intérêt...

Car celles qui font partie de ton cercle à présent et lesquels tu daignes accorder ton libre, il en ai une qui est ronde, ce que je ne suis pas.

Une autre à une forte poitrine, ce que je n'ai pas.

Et la dernière à de l'argent, ce que je n'ai pas également...

Et surtout elles sont toutes soumises à tes moindres désirs, ce que moi je ne peux te donner.

Je suis plutôt quelqu'on que et pourtant sa semblait te plaire au début, mais tu en voulais toujours plus, je ne suis plus rien à tes yeux, rien de rien.

Je voudrais trouver la force de mourir pour ne plus avoir à subir ces humiliations, car si je suis rester et sa tu ne l'as pas compris, c'est parce que quelque par au fin de moi y a une chose qui me retiens encore à toi, on pourrai me croire maso, ce que je suis certainement...

Mais je tiens à toi, et tend que cela sera possible d'y croire et de l'espèrer je ne pourrai attenter à ma vie, je sais pourtant que cela pourrai arriver et ce jour là sera pour moi une délivrance, moi de toi et toi de moi, comme tu l'as dis de nombreuses fois je suis un boulet, mais il semble que tu oublis que "ce boulet" comme tu dis ne t'a jamais demander l'impossible.

J'ignore avec quels mots m'as tu décrites mais certainement comme un être différent de ce que je suis.

Même sa tu n'as pas la franchise de me le dire, comme du reste d'ailleurs, pourtant viendra un jour où il faudra que tu t'expliques de tout ce mal et tous ces mensonges que tu débites à tout ce petit monde qui gravite autour de toi.

Tu sais j'ai entendue une phrase dans un film, cette phrase je pourrai presque la citer pour nous:

"NI AVEC TOI, NI SANS TOI" elle est tirée d'une réplique de "la femme d'à côté" de François Truffaut, c'est l'un de mes films préferer, parce qu'il parle d'un amour entre un homme et une femme et plutôt que de continuer à souffrir d'aimer son amant et qu'elle sait leur amour impossible car il est déstructeur, alors qu'il font l'amour elle le tue avant de se donner la mort à elle même... 

Ce qui nous diffères, nous le savons bien, je pense même le connaître mieux que toi, tu n'as jamais eu pour moi de mots qui soient tendre et encore moins de réels sentiments, tu t'es simplement servit de mes sentiments pour me faire faire n'importe quoi, et quand tu disais en avoir c'était en fait pour mieux me contrôler.

Tu m'as abuser non physiquement mais moralement, pour t'étonner ensuite que je te trahisse, alors que bien avant moi tu l'avais fais, non pas de la même façon que moi, non d'une manière calculer et plus manipulatrice, je n'étais qu'un jouet entres tes mains, sa avait l'air de ne pas te déplaire, et si je t'ai suivis dans cette voix c'était par aveuglement car tu m'avais jeter un sort.

Plus d'une fois tu m'as mis en tête que le but n'était pas la routine mais le changement, que nous devrions être un couple en évolution constante que notre liaison ne devait en aucun cas être semblable aux liaisons que certains couples ont...

Bien loin, trop loin tu m'as entraîner me faisant faire des choses qui soit disant m'enchaîneraient à toi et nous lierai ensembles à jamais, tu savais déjà que c'était un mensonge mais sa ne t'a pas empêcher de me prouver le contraire.

Ce qui nous diffère n'est pas seulement notre différence d'âge, se sont aussi nos différences en tout point de choses, si je peux faire abstraction à la première, je ne peux faire abstraction aux autres, car elles sont pour beaucoup sur mon point vue actuel, mais tu es trop préoccupé pour t'en rendre compte ou alors tu te sers de mes faiblesses pour me faire encore plus de mal.

Est ce cela aimer faire du mal ? Que d'ignorer que tu me fait mal chaque fois que tu me dis des mensonges et fait le contraire de ce que tu penses ? Tu ne peux ignorer le mal que tu me fais et leurs conséquences plus que douloureuses...

Tu t'es jouer de moi, de toutes ces choses que je ressentais pour toi, et lorsque tu m'as proposer de bâtir à tes côtés, naïvement j'ai vraiment crue que tu le souhaitais.

Pour cela j'ai oeuvrer, mais ce n'étais pas aussi imaginatif, tu me demander plus encore, cela paraissait bien difficile car avant de te connaître je n'avais jamais oser construire et me fallait apprendre, je voulais que les fondations soient solides, baser sur de réelles motivations et j'en avais, mais je devais te paraître bien trop stupide que tu as commencer à rechercher ailleurs, et peu à peu chaque pas que je faisais vers toi tu t'en éloignais, j'avais beau voir que j'étais hors de porter de toi et tenter de me remettre en ligne de mire, tu finissais par reculer davantage.

J'ai commencer à souffrir de plus en plus et chaque fois que je te voyais je croyais bêtement que tu me dirais que ce n'étais qu'une passade, mais plus le temps passer et plus finalement c'est vers une autre que tu allais, et de moi tu semblais vouloir tourner la page.

Pourquoi à ce moment là ne suis pas partie?

Peut être parce que j'attendais de toi que tu me le dises, que tu me dises que sa ne marcherai pas, et comme tu ne disais rien je suis rester, m'enfonçant chaque jours un peu, Tu feignais de ne pas le voir, tu t'en amuser, et quand je pleurer, sa t'éloigner encore plus.

Comment crois tu qu'il aurai fallut que je réagisse?

Sinon que de pleurer, j'aurai pu être forte et te dire qu'on allait s'en sortir, mais mes forces m'abandonner et que toute cette énergie que j'avais me venait de toi, et que sans toi à mes côtés je n'avais plus...

A présent je suis seule, certes tu es là à mes côtés mais tu ne m'apportes aucun réconfort, sinon pour me dire de ne pas me faire d'idées, que même si je t'ai trahis, toi tu m'as déjà remplacer, tu ne me laisses aucunes chances, à moi de faire mes preuves, et de retrouver l'équilibre manquant...

Sa ne va pas...je me sens de plus en plus mal, à cause de toi et parce que tu ne fais rien pour que les choses trouvent une issue. Certains pourraient me croire maso de rester auprès de toi, d'autres au contraire pourraient croire que si je me comporte ainsi c'est parce que je tiens vraiment à toi... Pourtant la douleur est bien là et mon coeur à bien de la peine à tenir le choc, je ne sais pour combien de temps encore je vais tenir mais une chose est sûre je ne devrai pas tenir le coup très longtemps.

J'ai beau tout essaier de me faire la plus petite possible que j'en arrive à me sentir invisible, tu ne vois pas à quel point le désastre est grand, j'ai peur, peur que mes sentiments laissent place à la colère et à la haine et que je finisse par franchir le cap de me suicider parce que vivre avec sa aura ruiner mes espoirs de connaître autre chose après toi.

Je puise dans mes réserves la force qui me manque, mais ce n'est pas assez pour calmer cette douleur lattente que tu me fais endurer, on dirait que tu en prend un certains plaisir, parce que je me doute bien que je ne suis pas un sujet bien interressant et ce n'est pas ce que tu prétendais, quand tu me fesais faire certaines choses, ces choses justement qui m'ont cassées, et qui peu à peu m'ont rendue dépendante de toi.

Je n'aurai pas dû te laisser m'entraîner avec toi, s'a ne rend les choses que plus difficile à supporter aujourd'hui...

Je ne comprend pas ce qui s'est passer ni pourquoi tout sa a mal tourner tu n'es certainement pas étranger à tout sa, que de te détourner de moi, alors que j'essaier de me refaire une place, tu aurai pu t'en contenter, mais tu avais besoin de plus que sa, par ton comportement tu m'as fais comprendre que si je ne pouvais être un objet entres tes mains tu ne pouvais tenir à moi et donc qu'il te fallait autre chose, une autre femme pour combler tes désirs, puis comme elle ne semblait pas suffire tu en as pris une autre et encore une autre, moi dans cette affaire tu m'as mis au rancart, je ne fais plus partie de cette vie et cette complicité, tu m'as bannis, c'est aussi pourquoi j'ai mal parce que tu m'as abandonnée.

Je connais la douleur du rejet pour l'avoir si bien connue au cours de ma vie, quand tu as prétendue que tu ne me ferai jamais subir cela je t'ai crue, et parce que j'avais besoin d'espoirs je me suis laissée aller dans cette vie avec toi. Nos différences j'en ai fais abstractions, parce que justement elles n'étaient pas un obstacle entres nous, mais je me suis tromper, mais sa tu ne m'en as rien dis, tu m'as laisser faire, tu m'as laisser faire quand je suis peu à peu tomber amoureuse de toi, vraiment amoureuse...

Moi et mes amours j'en avais connue, mais qui finirent toujours par me briser, pourtant toi tu es le seul d'entres tous que j'ai aimer, vraiment aimer...

Finalement tu es comme les autres tu m'as fais croire, je t'ai crue et après tu m'as brisée...

Force m'est de constater de mes propres yeux, que tu ne tiens à aucunes de tes promesses, puisque pas de news depuis ton départ... Force m'est de constater également que tes oportunités de me parler se limite qu'à me bloquer je te vois malgré tout et tu feins de ne pas me voir, sa en devient presque pathétique de ma part d'attendre un signe de toi, alors je me résous à te laisser comme sa, après tout libre à toi tu rends les choses détestable, car malgré la présence de mes sentiments à ton égard tu semble n'accorder que ta présence qu'à de rares moments et aux instants choisient par toi et moi dans tout sa je n'ai rien à y redire pas même une once d'étonnement ou de révolte, ce que tu m'interdis sous le pretexte que je suis sans cesse à me plaindre.

A la différence de toi je ne suis pas aussi froide et manipulatrice, et surtout je reste moi même toi tu es le contraire tu es perfide menteur manipulateur vénal les mensonges que tu dis finissent par trouver dans ta bouche un semblant de vérité, mais la vérité l'a connais tu vraiment au fond de toi? que de dire à l'une puis à l'autre et ainsi de suite les mêmes choses mais de façon différentes suivant la personne que tu as face à toi, tu finisses par te tromper, je m'en suis rendue quelques fois que tu es eu des mots pour moi que tu disais m'avoir dit alors qu'on en avaient jamais parler, j'ai une bonne mémoire malgré certaines absences, mais je sais encore quand certaines choses ne me sont pas destinée, peut être t'emmêle tu un peu dans ton brouillard de mensonges...

Tu es un escroc, un menteur... Déjà par le passé tu as fais tes preuves de cela, et je sais malgré moi que j'en subirai les conséquences, ce que tu veux bien donner de toi tu t'arranges pour en reprendre une bonne partie, avec toi il n'y a rien de réciproque, sinon ce que tu veux bien offrir mais y a toujours une contre partie immense entre le sacrifice fait pour toi et le sacrifice que tu prétends faire.

On m'a prédit beaucoup de souffrances à tes côtés je suis forcée de constater que la personne qui m'a dit sa ne s'est pas tromper, que tu seras toujours entourée de ce petit harem que tu t'es constituer à mon inssue sans possibilité pour moi de revenir un jour vers toi.

Je t'ai certainement trahis au moment où nous étions ensembles, mais à la différence de toi je n'ai jamais cesser de t'aimer, tandis que toi tu as pu cesser comme sa sans cris égard, c'est pour aussi cette raison que je doute que tu es pu réellement m'aimer comme tu le prétendais alors, peut être est ce là aussi un mensonge parmis tous ceux que tu m'as dis lorsque nous étions ensembles...

j'aurai aimer rêver à tes côtés... et poursuivre ce chemin que nous avions commencer à prendre... Mille fois j'ai tenter de te retrouver, et mille fois tu ne me l'as pas permit...

Mon tord peut être d'avoir fait le choix du retour, tout en sachant que tu ne voulais plus de moi... je suis comme un chien qu'on abandonne sans se retourner, un chien en manque de caresses et d'attentions.

Je me sens de plus en plus mal dans ma peau, et l'envie de mourir me trotte dans la tête... Une fois tu m'as dis de ne pas me faire d'illusions que je ne devais m'attendre à rien venant de toi, tu prétend agir de la sorte avec toutes ces femmes qui gravitent autour de toi, mais je sais bien qu'il n'en ai rien...que tu me mens certainement pour ne pas me blesser, certainement pour te protèger... Tu me laisse croire que peut être sa pourrai marcher mais il n'en ai rien et qu'à ce jour tu ne m'as pas montrer que j'étais sur la bonne voie, que mes efforts ne sont pas vains et que tu en ai conscient, j'ai mal parce que je sens que je n'ai plus rien à voir avec toi, et que jamais plus je ne ferai partie de ta vie, et plus de place dans ton coeur.

Je me sens stupide de m'accrocher à un ce rêve secret de te retrouver au détour d'un coin de rue, je sais bien que je ne devrai pas, mais c'est plus fort que moi que mes sentiments ne sont pas morts pas comme toi qui a su en peu de temps gommer tout gommer de ce qu'il y avait eu entres nous.

J'ai à ce jour un doute sur "ces sentiments" que tu disais avoir étaient ils vrais ou juste un fruit pourri et pour lequel tu m'as bercer à me faire croire et permettre ainsi à me faire faire maintes choses? Et ces femmes autour de toi qui gravitent comme des astéroides autour de la terre tu ne les aimes que pour leur argent et bien entendu parce qu'elles assouvissent tous ces penchants cruels que tu as en toi.

Je me sens humillier et pourtant je t'aime, je t'aime comme jamais je n'ai aimer personne mais sa aussi je le garde pour moi, je n'ose te le dire parce que tu serai capable de te montrer odieux comme la dernière fois où nous avons échangés car ce jour là tu as prétendu que si je voulais rester à tes côtés c'est parce que j'avais peur de me retrouver seule, il n'en ai rien de cela, si je veux rester à tes côtés c'est que je tiens à toi vraiment, du fond de moi même maintenant si tu le crois, tu n'as qu'à me laisser et tu verras que je vivrai mieux... et que ce journal de bord me permettra de prendre du recul avec toi et qu'au fur et à mesure je me sentirai libre... mais tout sa faut que sa vienne de toi...moi je n'en ai pas la force...enfin pas encore.

Au fil des jours je découvre ta personnalite, je me rends compte combien j'ai pu être naive, de m'être laisser prendre dans tes filets.

Je pensais surment le contraire à l'époque que j'avais de la chance d'être sur toi tomber, mais dès le début tu m'as manipuler en me fesant croire qu'aimer c'était de le prouver en fesant maintes choses pour alimenter ces sentiments entres nous, en fait j'ai tout essaier pour te plaire et te satisfaire

... tout essaier pour te combler et au début ce n'était pas toujours bien, tu en voulais encore davantage, qu'est ce qui m'est passer par la tête le jour ou je t'ai parler de me dominer, j'aurai mieux fait de me taire,mais tu t'en ai servi comme prêtexte pour dire que c'était là ma vraie nature et que tu serai celui qui me guiderai, dès lors je n'étais plus qu'un jouet entres tes mains, voire à certains moments rien que de la m...
Un jour pourtant tu as dis m'aimer et je t'ai crue, peut être parce que finalement la seule chose que j'attendais vraiment de toi c'est d'être aimer, mais ton amour à toi était la dominance de mon esprit et pourtant, peu a peu mon esprit et mon coeur se persuader de cet amour, je le croyais unique et surtout si vrai...tu étais le premier amour vrai de ma chienne de vie.

Nous passions du temps à nous parlés, à nous ecrire, persuader à ce moment là que tu tenais vraiment à moi, je croyais que rien ne me séparerai de toi, mais peut être t'es tu lasser d'aimer une seule personne et que c'est pour sa que tu cherchais aussi à m'occuper ailleurs qu'avec toi, tu m'as ouvert à aller voir ailleurs, et je suis tomber entres les mains d'un homme qui abusa de mon inexperience dans ce domaine...
Je l'ai suivi dans ses délires, en te le cachant...plus tard tu as fini par tout découvrir, et dès lors tout changea entres nous. Notre complicité n'étant plus tu te détourna de moi. C'est vrai que je t'avais blesser que j'avais fait quelque chose que je n'aurai pas dû mais c'est toi qui m'y avais pousser, je n'ai pas sue à quel moment arrêter et à quel moment te le dire craignant certainement de te perdre.

J'ai pourtant essaier de revenir vers toi, péniblement et peut être aussi trop rapidement voulant à tout prix racheter mes erreures sur le mal que je t'avais fait.  Mais ce n'étais plus et peut être même que sa n'a jamais était entres nous, tu prétendais avoir mal de ma conduite et pourtant sa n'a pas empêcher que tu rencontres une autre femme, celle ci d'ailleurs correspondant mieux à tes attentes et qui certainement ne ferait pas la bétise de te trahir, tu as pris un chemin avec elle dans lequel je n'avais pas ma place et tu as fais pire que moi tu me l'as cacher mais surtout en fesant croire après que je l'ai sue qu'elle n'étais rien de ce que j'imaginais, j'ai souffert de cette complicité nouvelle que tu avais à présent loin de moi, pourtant j'ai voulu croire là aussi de façon naive que tu te lasserai d'elle et que nous finirions par refaire notre vie ensembles, mais plus tu avançais avec elle et plus tu te détourner de moi...

Chaque fois que nous nous voyions tu t'arrangeais pour qu'elle soir là, et quand nous étions ensembles je te sentais impatient de me voir partir pour aller l'a retrouver. Il y a eu aussi ces quelques jours où soit disant tu étais en vacances alors qu'en fait tu passais ces quelques jours avec elle, cela tu ne me l'as jamais dis je l'ai découvert par hazard, comme le fais que tu l'avais aussi initier comme à moi à voir ailleurs tu lui présentas les mêmes personnes qu'à moi.

Peu à peu tu m'as évincer, parce qu'elle avait sue te donner en peu de temps de plus grandes satisfactions que je ne l'avais fais, je l'ai très vite compris, mais je me sentais incapable de l'accepter, tu me fesais payer cher mon erreur et tu avais décider que ce n'étais rien de plus qu'un retour des choses, et que tu irai encore plus loin encore pour me le rendre...

La suite des conséquences passé...

Tu me laisses seule... pas seulement parce que tu dis que je suis jalouse, mais tu me laisses pour l'épaisseur du portefeuille de ta nouvelle conquête, après tout tu en as bien le droit, mais certaines choses dans cette histoire restent flou... Un jour je me rappelle alors que j'allais faire sa connaissance tu n'as pas hésiter à me donner des recommendations, et pas des moindres, il fallait si au cas où elle poserai des questions ne pas dire que tu étais déjà marié, dire aussi que tu vivais seul avec tes enfants en bas âges, alors que ces derniers sont déjà grands, dire aussi que tu travaillais encore alors que ce n'est plus le cas... Pourquoi tous ces mensonges alors que la vérité ne t'aurai pas davantage impliquer dans cette histoire, et puis fallait aussi mentir sur Nous, c'est peut être ce qui m'a fait le plus de mal de mentir sur Nous, de dire que pour toi que je n'étais pas un obstacle à ta liaison nouvelle avec elle... Surtout que dans cette histoire tu avais toujours ces autres relations... Tu te vantais des moyens que possèder tes maîtresses pour te satisfaire, pourquoi ne m'as tu pas dis a ce moment là de partir parce que je ne correspondais pas au genre de femmes qui savent te captiver, parce que je refuse de croire que tout sa c'est que du sexe, non tu es attirer par leur argent, et quand une femme à des sentiments,en l'encurance je fûs l'une d'entres elles à avoir pour toi des sentiments tu fais tout pour la faire dégager.

A cause de toi j'ai perdue confiance en moi et quand je suis à tes côtés, je ne parviens pas à avoir un sourire, pourtant je t'aime, mais sa malheureusement ce n'est pas réciproque,tu as décrèter qu'il n'y avais pas de place pour les sentiments dans ta vie, surtout en ce qui me concerne, parce que je n'ai pas de présence et encore moins ce que tu convoites le plus,l'argent.

Je me trouve bien pathétique de continuer ou plutôt d'essayer de te satisfaire puisque que plus rien en ce qui me concerne ne semble t'atteindre... J'ai si mal dans mon coeur, j'ai la sensation qu'il est brisé, cassé en mille et mille morceaux... Quand je parle avec toi je te sens froid, je me retiens de pas crier, de pas dire ce que je pense au moment précis où tu t'adresses à moi...Je ne comprend pas la distance que tu as mis entre toi et moi, et encore moins pourquoi tu m'as laissée et condamnée...Pour ces conquêtes auxquelles tu mens...

J'ai beau t'aimée mais tout sa ne te touche pas... Je doute qu'un jour c'est vraiment eu un sens, enfin un sens pour toi, moi j'y ai crue mais toi il semble que non...