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journal de bord
1 août 2011

Comment contenir mes sentiments...



Comment contenir mes sentiments? Je ne suis pas sûre de savoir le faire! Sans doute est ce nécessaire, mais c'est par tes mots que j'y suis contrainte, je voudrais que tu comprennes dans quel désespoir cela me place et que de museler mes sentiments, je n'arrive plus à savoir où j'en suis, ni si je pourrai tenir encore très longtemps car je me sens m'enfoncer peu à peu dans une lente agonie, une profonde dépression, dont tu es le responsable.

J'ai mal dans mon coeur et mon âme se brise.

J'aimerai tant t'aimer, te le dire, te le crier, mais ton coeur ne veut pas du mien...

Je n'arrive plus très bien à savoir où me situer, et si ma vie est encore capable de tenir debout, si je suis encore capable de faire partie de ta vie! si vraiment je peux croire encore en nous, malgré tout ce qui a put arriver entres nous.

J'ai envie de mourir tellement j'ai mal dans ma chaire. Parce que sans toi la vie, ma vie ne semble pas avoir  d'importance.

J'essaie de résister, j'essaie de faire que sa aille, mais j'ai beau tout faire rien ne marche.

Je me mens à moi même, sa marchera jamais j'ai plus de place dans ta vie, ma vie pour laquelle ta place reste vide...

Je voudrais prendre part à quelque chose mais dans quoi?

Je me sens vide, tout n'est que futiliter, je suis pathétique.

Je voudrais pouvoir te dire tout sa, mais je sais par avance que tu n'es pas prêt à me prêter une oreille attentive, je ne suis plus digne d'intérêt à tes yeux, d'autres ont déjà prit LA place que soit disant j'avais...

Je me sens stupide, je suis fatiguer de faire ses efforts pour lequels je ne reçois, ni compliments, ni encouragements de ta part, c'est peut être aussi et certainement à cause de ces raisons, que je me sens si fatiguer, si lasse mais sa tu feins de ne pas le voir.

J'en ai marre de pleurer, marre de ces douleurs invisibles que tu m'infliges...

Faut-il que je sois ronde, une grosse poitrine, avoir de l'argent pour être à tes yeux digne d'intérêt...

Car celles qui font partie de ton cercle à présent et lesquels tu daignes accorder ton libre, il en ai une qui est ronde, ce que je ne suis pas.

Une autre à une forte poitrine, ce que je n'ai pas.

Et la dernière à de l'argent, ce que je n'ai pas également...

Et surtout elles sont toutes soumises à tes moindres désirs, ce que moi je ne peux te donner.

Je suis plutôt quelqu'on que et pourtant sa semblait te plaire au début, mais tu en voulais toujours plus, je ne suis plus rien à tes yeux, rien de rien.

Je voudrais trouver la force de mourir pour ne plus avoir à subir ces humiliations, car si je suis rester et sa tu ne l'as pas compris, c'est parce que quelque par au fin de moi y a une chose qui me retiens encore à toi, on pourrai me croire maso, ce que je suis certainement...

Mais je tiens à toi, et tend que cela sera possible d'y croire et de l'espèrer je ne pourrai attenter à ma vie, je sais pourtant que cela pourrai arriver et ce jour là sera pour moi une délivrance, moi de toi et toi de moi, comme tu l'as dis de nombreuses fois je suis un boulet, mais il semble que tu oublis que "ce boulet" comme tu dis ne t'a jamais demander l'impossible.

J'ignore avec quels mots m'as tu décrites mais certainement comme un être différent de ce que je suis.

Même sa tu n'as pas la franchise de me le dire, comme du reste d'ailleurs, pourtant viendra un jour où il faudra que tu t'expliques de tout ce mal et tous ces mensonges que tu débites à tout ce petit monde qui gravite autour de toi.

Tu sais j'ai entendue une phrase dans un film, cette phrase je pourrai presque la citer pour nous:

"NI AVEC TOI, NI SANS TOI" elle est tirée d'une réplique de "la femme d'à côté" de François Truffaut, c'est l'un de mes films préferer, parce qu'il parle d'un amour entre un homme et une femme et plutôt que de continuer à souffrir d'aimer son amant et qu'elle sait leur amour impossible car il est déstructeur, alors qu'il font l'amour elle le tue avant de se donner la mort à elle même... 

 

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