j'aurai...

j'aurai aimer rêver à tes côtés... et poursuivre ce chemin que nous avions commencer à prendre... Mille fois j'ai tenter de te retrouver, et mille fois tu ne me l'as pas permit...

Mon tord peut être d'avoir fait le choix du retour, tout en sachant que tu ne voulais plus de moi... je suis comme un chien qu'on abandonne sans se retourner, un chien en manque de caresses et d'attentions.

Je me sens de plus en plus mal dans ma peau, et l'envie de mourir me trotte dans la tête... Une fois tu m'as dis de ne pas me faire d'illusions que je ne devais m'attendre à rien venant de toi, tu prétend agir de la sorte avec toutes ces femmes qui gravitent autour de toi, mais je sais bien qu'il n'en ai rien...que tu me mens certainement pour ne pas me blesser, certainement pour te protèger... Tu me laisse croire que peut être sa pourrai marcher mais il n'en ai rien et qu'à ce jour tu ne m'as pas montrer que j'étais sur la bonne voie, que mes efforts ne sont pas vains et que tu en ai conscient, j'ai mal parce que je sens que je n'ai plus rien à voir avec toi, et que jamais plus je ne ferai partie de ta vie, et plus de place dans ton coeur.

Je me sens stupide de m'accrocher à un ce rêve secret de te retrouver au détour d'un coin de rue, je sais bien que je ne devrai pas, mais c'est plus fort que moi que mes sentiments ne sont pas morts pas comme toi qui a su en peu de temps gommer tout gommer de ce qu'il y avait eu entres nous.

J'ai à ce jour un doute sur "ces sentiments" que tu disais avoir étaient ils vrais ou juste un fruit pourri et pour lequel tu m'as bercer à me faire croire et permettre ainsi à me faire faire maintes choses? Et ces femmes autour de toi qui gravitent comme des astéroides autour de la terre tu ne les aimes que pour leur argent et bien entendu parce qu'elles assouvissent tous ces penchants cruels que tu as en toi.

Je me sens humillier et pourtant je t'aime, je t'aime comme jamais je n'ai aimer personne mais sa aussi je le garde pour moi, je n'ose te le dire parce que tu serai capable de te montrer odieux comme la dernière fois où nous avons échangés car ce jour là tu as prétendu que si je voulais rester à tes côtés c'est parce que j'avais peur de me retrouver seule, il n'en ai rien de cela, si je veux rester à tes côtés c'est que je tiens à toi vraiment, du fond de moi même maintenant si tu le crois, tu n'as qu'à me laisser et tu verras que je vivrai mieux... et que ce journal de bord me permettra de prendre du recul avec toi et qu'au fur et à mesure je me sentirai libre... mais tout sa faut que sa vienne de toi...moi je n'en ai pas la force...enfin pas encore.